Inclusion : ceux qu’on n’écoute jamais peuvent tout changer.

Un jour, dans une grande institution, une femme brillante a quitté son poste. En silence.
Aucun conflit. Aucun scandale. Juste l’épuisement de ne jamais être vraiment vue et écoutée.
Elle cochait pourtant toutes les cases : compétence, expérience, engagement.
Mais à chaque réunion stratégique, on lui expliquait que "le moment viendrait”. Qu’elle devait “encore faire ses preuves”. Ce moment n’est jamais venu. Elle est partie.

Cette femme c’est Fatou. Assistante administrative.
Depuis trois ans, elle observe les erreurs que ses supérieurs ne voient pas.
Mais personne ne l’interroge. Elle n’a pas “le bon niveau” pour “participer aux décisions”.
Elle ne se plaint pas. Mais elle s’éteint.
Et avec elle, ce que l’entreprise aurait pu éviter, améliorer ou innover.
Elle n’est ni cadre, ni diplômée d’une grande école.
Mais elle voit clair. Comme tant d’autres.
Ce que l’on ne voit pas, on ne valorise pas.
Fatou n’est pas une exception.
Elle est le reflet de tous ceux qu’on n’écoute jamais.
L’inclusion ne concerne pas que le genre.
Elle concerne toutes les personnes à qui on ne donne pas de place.
Parce qu’elles ne parlent pas comme les autres.
Parce qu’elles viennent d’ailleurs.
Parce qu’elles ont un handicap, un accent, un parcours “atypique”.
L’inclusion, ce n’est pas un slogan.
On la célèbre chaque année.
On en parle dans les brochures.
On l’affiche sur LinkedIn.
Tout le monde en parle. Peu la pratiquent.

Dans certains milieux professionnels :
Ce n’est pas une question de moyens. C’est une question de volonté.
L’inclusion n’est pas un concept. C’est une décision. C’est une pratique.
Et comme toute pratique, elle demande des choix concrets, parfois inconfortables.
Ce n’est pas en faisant un “panel femmes” une fois par an qu’on change une culture.
Ce que coûte l’exclusion silencieuse.
L’exclusion ne fait pas de bruit. Elle ne bloque pas les projets.
Elle ralentit, détourne, fatigue, démotive.
Et surtout, elle fait perdre des idées, des talents, des solutions.
Quand vous laissez des voix en dehors du cercle :
L’inclusion rentable : mythe ou réalité ?
Beaucoup la voient comme une charge. Un “plus”. Une contrainte à gérer.
Ce qu’on oublie, c’est que l’exclusion coûte plus cher. En désengagement. En erreurs. En gâchis de talents.
Une étude de McKinsey a montré que les entreprises les plus inclusives performent 35 % mieux que la moyenne.
Mais au-delà des chiffres, c’est une évidence humaine :
Quand on se sent vu(e), entendu(e), respecté(e), on donne le meilleur de soi-même.
L’ennemi, c’est le symbole sans stratégie.
L’inclusion de façade entretient l’illusion, mais bloque le vrai changement.
Elle décourage les plus lucides. Elle décrédibilise les structures.
Et surtout, elle évite l’essentiel : changer les règles du jeu et travailler sur un développement fort et durable
Vous voulez vraiment agir différemment ?
Et les résultats suivent : meilleur climat interne, réduction du turnover, capacité d’innovation démultipliée.
Transformer l’intention en action, ça ne s’improvise pas.
Mettre l’inclusion en pratique demande plus qu’un diagnostic.
Il faut une méthode, des outils clairs, un cadre structurant, des repères simples et surtout un accompagnement capable de tenir dans la durée. C’est ce que nous construisons à inexsia, jour après jour, avec celles et ceux qui veulent transformer vraiment.
Nos outils :
À vous maintenant
Dire qu’on veut être inclusif ne suffit plus.
Il faut décider qui on veut faire exister dans son système et avec quelles règles du jeu.
Alors prenez un moment. Regardez votre organisation en face.
Posez-vous cette question simple :
Combien d’idées, d’alertes ou de solutions avons-nous laissé passer… juste parce que nous ne les avons pas entendues ?
Transformer, ce n’est pas tout changer.
C’est commencer par écouter autrement et agir là où c’est vraiment utile.

Vous voulez mesurer où en est votre structure ? Parlons-en.
Ecrivez-nous à inclusion@inexsia.com pour initier le changement