5 juin 2025
Par
Inexsia
Vos équipes ne sont pas fatiguées du travail. Elles sont fatiguées de l’inutile.
Dans beaucoup de milieux professionnels et de secteurs d’activités différents, on entend la même phrase "Les équipes sont fatiguées." "
On parle d’une charge trop lourde. De délais trop courts. D’objectifs trop ambitieux.
Et si ce n’était pas ça ?
Et si le problème n’était pas la charge de travail… mais tout ce qui n’a pas de sens ?
Parce que vos équipes ne sont pas fatiguées du travail.
Elles sont fatiguées de l’inutile.
Ce qui épuise vraiment
Ce n’est pas d’avoir des objectifs exigeants.
C’est de passer des heures en réunion… sans jamais décider.
C’est de remplir des tableaux de bord… que personne ne lit vraiment.
C’est de lancer des projets stratégiques… dont personne ne comprend l’objectif.
C’est de produire des reportings… parce que “c’est la procédure”.
Ce n’est pas le travail qui use.
C’est de travailler sans impact.
De cocher des cases.
De répéter des tâches… qui n’ont plus de sens.
De courir… sans savoir où l’on va.
Et ça, ça ne se voit pas tout de suite.
Une étude McKinsey montre d’ailleurs que 60 % du temps des managers est consacré à des tâches sans impact direct sur les résultats.
Ça ne bloque pas un projet en surface.
Mais ça ronge l’énergie, ça éteint l’engagement, ça use les talents à petit feu.
On parle d’une charge trop lourde. De délais trop courts. D’objectifs trop ambitieux.
Et si ce n’était pas ça ?
Et si le problème n’était pas la charge de travail… mais tout ce qui n’a pas de sens ?
Parce que vos équipes ne sont pas fatiguées du travail.
Elles sont fatiguées de l’inutile.
Ce qui épuise vraiment
Ce n’est pas d’avoir des objectifs exigeants.
C’est de passer des heures en réunion… sans jamais décider.
C’est de remplir des tableaux de bord… que personne ne lit vraiment.
C’est de lancer des projets stratégiques… dont personne ne comprend l’objectif.
C’est de produire des reportings… parce que “c’est la procédure”.
Ce n’est pas le travail qui use.
C’est de travailler sans impact.
De cocher des cases.
De répéter des tâches… qui n’ont plus de sens.
De courir… sans savoir où l’on va.
Et ça, ça ne se voit pas tout de suite.
Une étude McKinsey montre d’ailleurs que 60 % du temps des managers est consacré à des tâches sans impact direct sur les résultats.
Ça ne bloque pas un projet en surface.
Mais ça ronge l’énergie, ça éteint l’engagement, ça use les talents à petit feu.
Pourquoi ça continue ?
Parce que l’inutile rassure.
On préfère rester occupés que remettre en cause.
On remplit des plannings, on multiplie les comités, on produit des KPIs mal adaptés… et on croit avancer.
Pourtant, 71 % des cadres estiment que les réunions sont improductives et détournent des tâches à forte valeur ajoutée.
On confond activité et progrès.
On s’accroche à des process qui datent… parce que personne n’a le courage de dire : “Stop. Est-ce que ça sert encore à quelque chose ?”
Alors, on accumule.
Des indicateurs sans impact.
Des réunions sans décisions.
Des tâches sans finalité claire.
Et tout le monde fait semblant d’avancer… alors que l’organisation tourne en rond.
On préfère rester occupés que remettre en cause.
On remplit des plannings, on multiplie les comités, on produit des KPIs mal adaptés… et on croit avancer.
Pourtant, 71 % des cadres estiment que les réunions sont improductives et détournent des tâches à forte valeur ajoutée.
On confond activité et progrès.
On s’accroche à des process qui datent… parce que personne n’a le courage de dire : “Stop. Est-ce que ça sert encore à quelque chose ?”
Alors, on accumule.
Des indicateurs sans impact.
Des réunions sans décisions.
Des tâches sans finalité claire.
Et tout le monde fait semblant d’avancer… alors que l’organisation tourne en rond.
Prenons un exemple concret.
Dans une grande entreprise récemment accompagnée par notre équipe, un projet stratégique mobilisait des dizaines de personnes.
Les objectifs semblaient clairs.
Un comité de pilotage bien structuré.
Des reportings détaillés chaque semaine.
Sur le papier, tout était cadré.
Mais sur le terrain, les équipes s’essoufflaient.
Pas par manque de compétences.
Pas par manque de volonté.
Mais parce qu’elles ne savaient plus pourquoi elles faisaient ce qu’elles faisaient.
Des heures passées à remplir des tableaux.
Des réunions interminables.
Des tâches exécutées sans comprendre à quoi elles servaient vraiment.
Un jour, un de leurs collaborateurs nous a dit : "J’ai l’impression de courir dans un labyrinthe, sans jamais savoir où est la sortie."
Cette phrase nous a marqué parce qu’elle disait tout : ce qui use, ce n’est pas la charge de travail. C’est l’inutile qu’on accumule sans y penser.
Les objectifs semblaient clairs.
Un comité de pilotage bien structuré.
Des reportings détaillés chaque semaine.
Sur le papier, tout était cadré.
Mais sur le terrain, les équipes s’essoufflaient.
Pas par manque de compétences.
Pas par manque de volonté.
Mais parce qu’elles ne savaient plus pourquoi elles faisaient ce qu’elles faisaient.
Des heures passées à remplir des tableaux.
Des réunions interminables.
Des tâches exécutées sans comprendre à quoi elles servaient vraiment.
Un jour, un de leurs collaborateurs nous a dit : "J’ai l’impression de courir dans un labyrinthe, sans jamais savoir où est la sortie."
Cette phrase nous a marqué parce qu’elle disait tout : ce qui use, ce n’est pas la charge de travail. C’est l’inutile qu’on accumule sans y penser.

Faire le tri : un acte de leadership
Transformer, ce n’est pas tout changer.
C’est d’abord regarder en face ce qui ne sert plus.
C’est oser simplifier.
C’est redonner du sens à ce qui reste.
Ça commence par des questions simples :
C’est d’abord regarder en face ce qui ne sert plus.
C’est oser simplifier.
C’est redonner du sens à ce qui reste.
Ça commence par des questions simples :
- Qu’est-ce qu’on peut arrêter ?
- Quelle réunion peut-on raccourcir ou supprimer ?
- Quels process sont devenus des contraintes plus que des outils ?
- Quels KPIs dans notre tableau de bord éclairent vraiment nos décisions… et lesquels font juste joli dans le reporting ?
Et surtout :
Qui, dans nos équipes, voit ce qu’on ne voit plus ?
Parce que souvent, les meilleurs signaux viennent de ceux qu’on n’écoute jamais. Les équipes terrain.
Les profils qu’on écarte des décisions.
Les voix discrètes… qui voient clair mais ne sont jamais interrogées.
C’est ça, le vrai leadership : oser poser les bonnes questions et agir.
Libérer l’énergie, ce n’est pas charger moins. C’est charger mieux.
Les équipes peuvent encaisser des objectifs ambitieux.
Elles peuvent faire face à des défis.
Elles peuvent travailler dur.
Mais elles ont besoin d’un cap clair.
D’outils simples.
D’indicateurs qui montrent l’impact, pas juste l’activité.
Elles ont besoin qu’on leur dise : “Voilà pourquoi on fait ça. Voilà comment ça compte. Voilà ce qu’on peut arrêter.”
Parce qu’au fond, ce qui motive, ce n’est pas de cocher des cases.
C’est de voir l’effet concret de ce qu’on fait.
C’est de se dire : “Mon travail compte. Je vois pourquoi. Je vois comment.”
Parce que souvent, les meilleurs signaux viennent de ceux qu’on n’écoute jamais. Les équipes terrain.
Les profils qu’on écarte des décisions.
Les voix discrètes… qui voient clair mais ne sont jamais interrogées.
C’est ça, le vrai leadership : oser poser les bonnes questions et agir.
Libérer l’énergie, ce n’est pas charger moins. C’est charger mieux.
Les équipes peuvent encaisser des objectifs ambitieux.
Elles peuvent faire face à des défis.
Elles peuvent travailler dur.
Mais elles ont besoin d’un cap clair.
D’outils simples.
D’indicateurs qui montrent l’impact, pas juste l’activité.
Elles ont besoin qu’on leur dise : “Voilà pourquoi on fait ça. Voilà comment ça compte. Voilà ce qu’on peut arrêter.”
Parce qu’au fond, ce qui motive, ce n’est pas de cocher des cases.
C’est de voir l’effet concret de ce qu’on fait.
C’est de se dire : “Mon travail compte. Je vois pourquoi. Je vois comment.”

À vous maintenant
Regardez vos équipes.
Observez leur rythme.
Posez-vous cette question simple :
Qu’est-ce qu’on peut arrêter demain… pour libérer de l’espace, de l’énergie, de l’envie ?
Et demandez-leur :
Qu’est-ce qui vous fatigue le plus… sans vous faire avancer ?
Observez leur rythme.
Posez-vous cette question simple :
Qu’est-ce qu’on peut arrêter demain… pour libérer de l’espace, de l’énergie, de l’envie ?
Et demandez-leur :
Qu’est-ce qui vous fatigue le plus… sans vous faire avancer ?
Vous serez surpris.
Et si vous osez agir, vous verrez vite la différence.
Moins de fatigue. Plus d’engagement.
Des idées qui remontent.
Et une performance qui retrouve du sens.
Parce que vos équipes ne sont pas fatiguées du travail.
Elles sont juste fatiguées de l’inutile.
Moins de fatigue. Plus d’engagement.
Des idées qui remontent.
Et une performance qui retrouve du sens.
Parce que vos équipes ne sont pas fatiguées du travail.
Elles sont juste fatiguées de l’inutile.